Một tổng kết thú vị đối với những đã từng, đang, hoặc sẽ sống, làm việc, học tập ở nước ngoài hoặc từ nước ngoài trở về nước.
(adapted from the English original of Culture shock in Wikipedia by TMH)
Le choc culturel
Le terme choc culturel est utilisé pour décrire l’anxiété, la surprise, la désorientation, le déroutement, etc., sentiments ressentis lors d’un vécu dans un environnement social ou culturel entièrement différent, comme dans un pays étranger. Il se produit des difficultés auxquelles l’on fait face en assimilant une nouvelle culture, situation dans laquelle on a du mal à savoir ce qui est approprié et ce qui ne l’est pas. Ceci se combine souvent à l’écoeurement moral ou esthétique devant certains aspects de la culture nouvelle ou différente.
Ce terme a paru pour la première fois en 1954 grâce à Kalvero Oberg. D’autres chercheurs qui ont ultérieurement travaillé sur le choc culturel inclurent Michael Winkelman. Le choc culturel fait l’objet d’un domaine de recherche dans la communication interculturelle. Récemment, certains chercheurs revendiquent que le choc culturel a justement de nombreux effets positifs, tels que l’augmentation de l’efficacité de soi et de la motivation de soi, sur les séjournants interculturels.
Le choc culturel se manifeste de différentes manières. Certains symptômes comprennent des changements dans le mode de régime et de sommeil, le besoin de passer des appels téléphoniques vers le pays natal plus souvent que d’habitude, la tendance à éviter les gens de la culture hôte, l’anxiété dans des situations publiques, et une hostilité envers le nouvel environnement.
D’autres symptômes sont l’inquiétude excessive de l’hygiène et le sentiment que ce qui est nouveau et étrange est « sale ». Cela peut concerner l’eau potable, des aliments, la vaisselle et la literie ; la peur du contact physique avec des serveurs, des gardiens ou des femmes de ménage ; le sentiment d’impuissance et de vulnérabilité et le désir de compter sur les résidents à long terme de sa propre nationalité ; l’irritation par les retards et d’autres petites frustrations en proportion à leurs raisons ; le retard et le refus retentissant d’apprendre la langue du pays d’accueil ; la crainte excessive d’être trompé, d’être volé ou d’être blessé ; le souci exagéré des douleurs mineures, même les irruptions cutanées ( !) ; et finalement le grand désir de retourner chez lui, de visiter ses proches, et, globalement, la nostalgie des environs familiers.
Le choc culturel grave se compose souvent de phases distinctes bien que tout le monde ne vive pas toutes ces phases et que tous les individus ne soient pas dans une nouvelle culture assez longuement pour passer par toutes ces phases :
- La phase de « lune de miel » au cours de laquelle les différences entre la culture ancienne et nouvelle sont vues sous une lumière romantique, merveilleuse et nouvelle. Par exemple, en se déplaçant dans un nouveau pays, un individu peut adorer de nouvelles nourritures, le rythme de vie, les habitudes des gens, les bâtiments, etc.
- La phase de négociation pendant laquelle les différences mineures entre la culture ancienne et nouvelle sont résolues après quelques jours, quelques semaines ou quelques mois. On peut avoir très envie des plats préparés de telle façon que l’on trouve dans son pays originaire. On peut trouver le pas de vie trop vite ou trop lent. On perçois peut-être que les habitudes de la population locale soient gênantes, etc.
- La phase de « tout est bon » durant laquelle on se rend accoutumé aux différences de la nouvelle culture et a déjà développé des routines. A un tel point, on ne réagit plus à la nouvelle culture ni positivement ni négativement, simplement parce que cette culture ne lui semble plus nouvelle. On devient de nouveau préoccupé par la vie basique comme on le faisait dans sa culture originaire.
- Le choc culturel inverse, phénomène dans lequel le retour d’une personne à sa culture natale après être devenue habituée à celle du pays d’accueil peut susciter les mêmes effets que ceux décrits au dessus. Pourtant ces effets peuvent durer plus ou moins longuement par rapport à ceux du choc initial.
A chaque individu son degré auquel le choc culturel peut influer sur lui. Dans certains cas, c’est impossible d’affronter le choc culturel. Bien qu’il ne soit pas commun, il y a ceux qui peuvent à peine survivre à l’étranger. D’autres cessent de s’assimiler à une nouvelle culture et retournent à leur propre culture. Au contraire, certains deviennent tellement magnétisés par la culture étrangère qu’ils estiment qu’ils n’ont pas d’autre choix que s'y installer définitivement !
你写法语怎么我能看懂 ?
ReplyDeleteOh la, connu ce qui est "choc culturel" depuis longtemps, mais jamais encore entendu une analyse tellement claire et détaillée.
ReplyDeleteMoi, j'ai aussi un autre choc pour le moment, le choc sur la super maitrise de la langue de M. TRAN :D. (Toute langue) En essayant de fouiller la mémoire, je peux reconnaitre quelques "lettres", mais pas toutes, donc... Hik hik... God, i hate myselffffffffffffff!
@EL: 留学生在异国他乡时,可能会:
ReplyDelete极度地思念家乡。
竭力地躲开那些自己不适应的公众场合。
身体不适,睡眠不安。
精神压抑,感觉无助。
对他国文化抱有敌对情绪。如不喜欢、不习惯他国礼仪(礼节性拥抱)。
@ Hanna: Tu as été trompée ! En fait, ces caractères chinois m'ont également choqué!!! To be honest, I have no idea what "the hell" those characters are all about. One thing for sure: I copied them from Wiki, haha.
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